Le journal italien La Gazzetta dello Sport a publié un classement actualisé des 10 entraîneurs les mieux payés du monde du football, en mettant l’accent sur les capitaines des équipes nationales. Le rapport met en évidence les tendances financières dans le sport, avec des salaires annuels s’élevant à des millions d’euros, soutenus par des primes et des réalisations. L’Italien Carlo Ancelotti est en tête de liste, tandis que des noms européens et sud-américains arrivent en queue de peloton.
Carlo Ancelotti : Le plus gros salaire du monde
L’entraîneur italien Carlo Ancelotti, actuel capitaine de l’équipe nationale brésilienne, occupe la première place avec un salaire annuel de 9,5 millions d’euros. Ce salaire mirobolant s’explique par sa grande expérience, qui lui a permis de remporter quatre fois la Ligue des champions, et par l’ambition du Brésil de retrouver sa domination sur le continent. Ancelotti a une longueur d’avance sur ses concurrents, ce qui témoigne d’une confiance totale dans sa capacité à mener la « Samba » au titre.
Classement complet : Les 10 salaires les plus élevés
Le classement montre une diversité géographique, avec une prédominance des Européens dans les premières places :
- Carlo Ancelotti (Brésil): 9,5 millions d’euros.
- Thomas Tuchel (Angleterre): 5,9 millions d’euros.
- Julian Nagelsmann (Allemagne): 4,9 millions d’euros.
- Fabio Cannavaro (Ouzbékistan): 4 millions d’euros.
- Roberto Martinez (Portugal): 4 millions d’euros.
- Didier Deschamps (France): 3,8 millions d’euros.
- Marcelo Bielsa (Uruguay): 3,5 millions d’euros.
- Ronald Koeman (Pays-Bas): 3 millions d’euros.
- Gustavo Alfaro (Paraguay): 2,5 millions d’euros.
- Lionel Scaloni (Argentine): 2,3 millions d’euros.
Gennaro Gattuso, le sélectionneur de l’Italie, gagne 800 000 euros par an, avec une prime d’un million d’euros en cas de qualification pour la Coupe du monde.
Les salaires : Un reflet des ambitions continentales
Ces salaires élevés sont attribués aux pressions continentales et aux grandes ambitions, les experts étant évalués à des prix astronomiques pour mener les équipes à la Coupe du monde. Ancelotti, par exemple, est un investissement pour le Brésil après l’échec de la Coupe du monde 2022. Tuchel, quant à lui, est payé pour mettre fin à la disette de l’Angleterre depuis 1966.
